Sale temps pour les « Libanais »

Publié le 3 juillet 2005 Lecture : 0 minute.

Le retrait du Liban du corps expéditionnaire syrien n’a pas mis fin aux pressions américaines sur le régime de Damas. Convaincue que les services syriens n’ont rien perdu de leur influence dans le pays voisin et qu’ils sont les véritables instigateurs des attentats qui ont coûté la vie au journaliste Samir Qassir et à l’homme politique Georges Hawi, l’administration Bush a décidé de geler les avoirs aux États-Unis de ces deux symboles de l’occupation que sont Ghazi Kanaan, l’ancien patron des troupes syriennes au Liban (et actuel ministre de l’Intérieur), et Rostoum Ghazaleh, le tout-puissant chef des services secrets desdites troupes.

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