Trafic de votes
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Transparency International dénonce régulièrement l’achat de votes au sein de la Commission baleinière internationale. Une accusation réitérée à l’issue de la réunion de la CBI, qui s’est tenue à Saint-Kitts du 16 au 20 juin. Des cinq motions soutenues par le Japon et destinées à lever les mesures de protection dont font l’objet les cétacés, une seule a été adoptée, mais toutes ont bénéficié du soutien massif des États africains. Sur les douze ayant pris part au vote, onze (Bénin, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Gambie, Guinée, Mali, Mauritanie, Maroc, Sénégal et Togo) jugent que le moratoire sur la chasse à la baleine n’est plus nécessaire. Seule l’Afrique du Sud a voté pour son maintien.
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