Le thé d’Ania
de Saïd Ould-Khelifa (sortie à Paris le 4 mai)
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L’Algérie troublée et violente du début des années 1990. Medhi, romancier, se sachant menacé, rongé par des idées obsédantes, vit cloîtré dans la capitale. Sans contact ou presque avec qui que ce soit, sinon un ami écrivain, en voie d’expatriation, et une voisine, Ania, fille de pieds-noirs qui veut redonner de l’espoir à Medhi. Peu de paroles, pas d’action, juste une ambiance. Un film radical, intense, parfois jusqu’à en être pesant.
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