Le portugais recalé
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Relayée par diverses personnalités africaines, une information « de bonne
source » a circulé à la fin du mois d’avril concernant l’adoption par la Banque africaine de développement (BAD) du portugais comme troisième langue de travail (aux côtés du français et de l’anglais). Vérification faite, il apparaît qu’il n’en a jamais été question, la BAD ne pouvant se permettre d’ouvrir cette boîte de Pandore : les demandes sont trop nombreuses et les coûts de traduction et d’interprétation trop importants.
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