Le Burundi à Paris, en mode business
De passage à Paris, Gervais Rufyiriki, deuxième vice-président du Burundi chargé des questions économiques, a enchaîné les rencontres avec les entrepreneurs français, à la recherche d’investisseurs intéressés par plusieurs secteurs de l’économie du pays.
![Gervais Rufyiriki est le deuxième vice-président du Burundi. DR](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/02/24/Burundi_Gervais_Rufyikiri_DR.jpg)
Gervais Rufyiriki est le deuxième vice-président du Burundi. DR
La visite a été discrète. Le deuxième vice-président du Burundi, Gervais Rufyiriki, chargé des questions économiques, était à Paris le 27 janvier « pour resserrer les liens bilatéraux avec la France ». Après le Quai d’Orsay, il s’est rendu au siège du Medef International, où il a rencontré une quinzaine de chefs d’entreprise.
À la recherche d’investisseurs, il s’est longuement entretenu avec les représentants de Sogea-Satom, seule société française d’envergure aujourd’hui présente au Burundi, de Schneider Electric, pour parler des projets énergétiques à venir, d’Itron, concernant la gestion de l’eau, de Thales, au sujet du contrôle de l’espace aérien burundais, ou encore d’InVivo, spécialiste des questions agricoles.
Lire aussi :
Quand Bujumbura s’éveillera
Success-stories à la burundaise
Mines : Les bons filons du Burundi
L'éco du jour.
Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Économie
- RDC : des minerais de sang aux minerais de paix
- Présidence de la BAD : Bassirou Diomaye Faye, arbitre des ambitions sénégalaises
- Pourquoi Alassane Ouattara a limogé Adama Coulibaly, patron du Conseil du coton et de l’anacarde
- La question nationale au cœur de l’économie gabonaise
- Les pétrodollars émiratis affluent en Afrique, mais à quel prix ?