Cette semaine dans Jeune Afrique

Cette semaine, l’édition papier de Jeune Afrique propose une interview du ministre des Mines ivoirien Adama Toungara. Longtemps négligées, les ressources naturelles sont devenues un pilier du renouveau économique ivoirien. Pour l’exécutif, cela passe par une réforme en profondeur des secteurs des mines et des hydrocarbures.

Cette semaine dans Jeune Afrique, le ministre des Mines ivoirien expose sa stratégie pour faire du pays un grand producteur en Afrique de l’Ouest.

Cette semaine dans Jeune Afrique, le ministre des Mines ivoirien expose sa stratégie pour faire du pays un grand producteur en Afrique de l’Ouest.

Publié le 14 janvier 2013 Lecture : 2 minutes.

Négligée pendant une décennie de crise politique et économique, l’exploitation des ressources minières pèse aujourd’hui moins de 1 % de la richesse nationale. Divisée par deux depuis 2006, la production pétrolière est tombée à 32 000 barils par jour du fait de l’ensablement du champ Baobab. Une anomalie au regard du potentiel du pays, estiment certains groupes pétroliers et l’exécutif ivoirien, qui a fait des ressources naturelles un des deux piliers du renouveau économique national, avec l’agriculture.

Très discret dans les médias, Adama Toungara, le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, a longuement reçu Jeune Afrique, à Paris, pour exposer la stratégie de l’État ivoirien. Dans un encadré, Jeune Afrique se demande quelle place sera accordée au secteur privé. Les autorités misent en priorité sur les sociétés publiques Petroci et Sodemi. Des entrepreneurs locaux pourraient néanmoins tirer leur épingle du jeu.

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En section entreprises & marchés, Jeune Afrique revient sur le tourisme tunisien. Le modèle balnéaire étant en panne, Tunis mise sur le tourisme haut de gamme, notamment loin des côtes. Si des initiatives privées voient le jour, la stratégie du gouvernement, elle, doit encore être affinée.

Au Maroc, la fermeture d’Actuel est un signal d’alerte pour les journaux du royaume. Confrontés au défi de la langue, au tarissement de la publicité et à la concurrence du Net, les titres en français sont les plus vulnérables. Enquête sur un secteur des médias à deux vitesses.

Dans la section décideurs, portrait de Eleni Gabre-Madhin, à la tête de l’Ethiopia Commodity Exchange (ECX) depuis cinq ans. Forte du succès de la Place éthiopienne, sa fondatrice se lance un nouveau défi : dupliquer cette expérience dans d’autres pays du continent.

Enfin, dans la partie finance, Jeune Afrique se penche sur le cas des trois PME africaines cotées sur le marché libre NYSE Euronext, Pétro Ivoire, Money Express et Simat. Si leur présence sur la Place française leur a permis d’être plus visibles, la levée de fonds demeure une gageure et elles traversent une période de doutes.

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Sommaire

Côte d’Ivoire
« Nous avons tout remis à plat », Adama Toungara
Quelle place pour le secteur privé ?

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Entreprises & marchés
Tunisie – Luxe, calme et palmeraies
Maroc – Menaces sur la presse écrite
Afrique de l’Ouest – Le patronat élève la voix

Décideurs
Matières premières – Elle veut des bourses partout
Mines – Redresseur de coûts

Finance
Bourse – Voir Paris et languir

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