Mali : chefs rebelles sous surveillance
Si la communauté internationale espère rallier les groupes rebelles au préaccord de paix d’Alger, elle fait aussi planer la menace de sanctions internationales.
![Le ministre des Affaires étrangères malien Abdoulaye Diop (c), le 1er mars 2015 à Alger. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/03/16/016032015131418000000005032015083754000000diop.jpg)
Le ministre des Affaires étrangères malien Abdoulaye Diop (c), le 1er mars 2015 à Alger. © AFP
Afin de convaincre les groupes armés de respecter l’accord de paix négocié à Alger qui pourrait être conclu à la fin de ce mois au Mali, l’ONU fait planer la menace de sanctions individuelles contre les chefs de milice de toutes obédiences qui sévissent dans le Nord.
Pour l’heure, rien d’officiel, mais "on y travaille à Bamako et à New York", indique une source au sein de la Minusma. Les motifs susceptibles de déclencher des sanctions sont en cours d’élaboration : violations des droits de l’homme, sabotage du processus de paix, incitations à la violence, etc.
La nature même de ces sanctions, aussi : interdiction de voyager, gels des avoirs à l’étranger, etc.
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