Une autre vague de soutien, rappelant cette fois le mouvement "Not in my name" ou "Bring back your girls" a aussi été lancée sur les réseaux socia.
Colère des internautes tunisiens contre le journal Libération
Les internautes tunisiens se sont aussi mobilisés contre le titre d’un reportage de la correspondante tunisienne du journal français Libération.
"C’est fini la Tunisie, c’est fini le tourisme", avait dans un premier temps titré Libération en reprenant la citation d’un guide touristique rencontré par leur journaliste aux abords du Bardo juste après l’attaque.
Interpellé sur Facebook et Twitter par des internautes tunisiens qui lui reprochaient le côté fataliste du titre, le journal l’a modifié, et publié un message sur son site pour s’expliquer :
"Le titre du reportage de notre correspondante "C’est fini la Tunisie, c’est fini le tourisme", a provoqué une très vive émotion dans le pays. Il ne s’agissait en aucun cas de stigmatiser le pays ou de dissuader les touristes de s’y rendre mais de rendre compte par une citation recueillie sur place, comme l’indiquent les guillemets, de l’émotion suscitée par le drame."
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