La vie de Jalloul Ayed après la Révolution
Jalloul Ayed, l’ancien ministre tunisien des Finances, s’apprête à publier un essai sur l’après-Révolution. Il a également créé une société destinée à investir dans des projets à haute valeur technologique.
C’est dans sa résidence de Casablanca que Jalloul Ayed, l’ancien ministre tunisien des Finances (et ancien patron de la banque BMCE capital), a mis un point final, il y a une dizaine de jours, à la rédaction de La Route des jasmins, un essai à paraître en janvier aux éditions de la Différence, à Paris. Il y raconte sa participation à l’après-Révolution au sein des gouvernements de Mohamed Ghannouchi, puis de Béji Caïd Essebsi, et ses recettes pour bâtir un nouveau modèle économique en Tunisie.
Haute valeur technologique
Depuis plusieurs mois, Ayed consacre une partie de son temps à sa grande passion, la musique classique, mais n’a pas complètement tourné le dos au monde des affaires. Il vient de créer dans son pays une société destinée à investir dans des projets à haute valeur technologique et s’apprête à faire de même au Maroc. « Je veux démontrer que ce que je prône fonctionne au-delà des discours », explique-t-il.
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