Nabil Zorkot : « Mon père est venu en Côte d’Ivoire pour des raisons économiques »

Les Libanais d’Afrique sont devenus aujourd’hui, par leur nombre, leur attachement au pays d’accueil et à la terre d’origine, ainsi que par leur influence économique, une catégorie socio-économique significative dans les pays d’Afrique de l’Ouest. Avec notre partenaire Samar Media, nous vous proposons une série de témoignages de ces Libanais, installés au Sénégal et en Côte d’Ivoire.

Publié le 3 juillet 2015 Lecture : 0 minute.

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Série vidéo : les Libanais d’Afrique de l’Ouest

Entamée il y a plus d’un siècle, l’émigration libanaise à destination du continent africain a créé ce qui forme aujourd’hui un groupe particulier, celui des Libanais d’Afrique de l’Ouest. Ils seraient ainsi entre 200 000 et 300 000 sur tout le continent, dont 60 000 en Côte d’Ivoire, pays qui compte le plus de ressortissants libanais.

Sommaire

Second épisode de notre série : le témoignage de Nabil Zorkot, photographe professionnel en Côte d’Ivoire.

“Le petit Syrien”, comme l’appelaient ses camarades lorsqu’il était enfant, a fait ses études de cinéma au Canada. Mais il a fait le choix de revenir en Côte d’Ivoire pour travailler en tant que photographe et vivre dans le pays d’accueil de son père, arrivé du Liban en 1960 pour des raisons économiques.

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Découvrez ci-dessous son témoignage :

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