Cette semaine dans « Jeune Afrique »
Dans sa nouvelle édition, en kiosques du 5 au 11 juillet, « Jeune Afrique » se penche sur un immense gâchis : la sous-exploitation de l’extraordinaire potentiel en hydroélectricité des cours d’eau du continent africain.
Vue du site d’Inga, en RD Congo, l’un des plus grands gisements hydaruliques au monde, avec plus de 43 000 mégawatts potentiels. mais seuls 1 700 MW sont aujourd’hui installés. © Jean-Luc Dolmaire/J.A.
Publié le 6 juillet 2015 Lecture : 2 minutes.
Les chiffres sont sans appel : les ressources hydrauliques du continent africain pourraient lui apporter 300 gigawatts d’électricité, soit l’équivalent de 300 réacteurs nucléaires. Or, seulement 5 % du potentiel hydroélectrique de l’Afrique est exploité et plus de 70 % de la population du continent est plongée dans le noir. Dans son édition n°2843, disponible en kiosques et en ligne, Jeune Afrique se penche sur les raisons de la sous-exploitation de cette énergie, l’une des plus propres et des moins chères au monde. Quels sont les obstacles qui retardent le développement des projets hydroélectriques sur le continent ? Quelles solutions peut-on imaginer ? Quels sont les projets hydroélectriques prioritaires développés sur le continent ? Découvrez les réponses à ces questions dans le nouveau numéro de Jeune Afrique.
Dans la section Entreprises et marchés, Jeune Afrique décrypte la stratégie des grands conglomérats sud-coréens, les chaebols, dans l’offensive commerciale de Séoul sur le continent. Retrouvez également une analyse détaillée des raisons pour lesquels le constructeur automobile français PSA Peugeot Citroën – qui boudait l’Afrique il y a peu – à se mettre désormais à son écoute, multipliant les projets, du Maroc à l’Algérie en passant par le Nigeria.
Dans les Indiscrets de la semaine, Jeune Afrique dévoile en exclusivité le programme des rencontres de haut-niveau conduites récemment à Paris par Vishnu Lutchmeenaraidoo, le ministre mauricien des Finances. Découvrez également les ambitions de Benjamin de Rothschild dans la presse et celles du français Engie (ex-GDF Suez) dans le secteur de l’énergie en Afrique.
Le Décideur de la semaine est Bruno Koné, le ministre ivoirien des TIC. L’ancien directeur général de Côte d’Ivoire Télécom, homme de réseaux et porte-parole du gouvernement ivoirien, veut imposer la fusion de quatre opérateurs de téléphonie mobile. Une mesure qui, en reconfigurant l’ensemble du secteur des télécoms en Côte d’Ivoire, marquerait les esprits et… pourrait bien propulser sa carrière politique.
En section Finance, Jeune Afrique donne la parole à Pierre Goudiaby Atepa. L’architecte sénégalais a été élu le 25 juin dernier président du conseil d’administration de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM). Dans cette interview, Pierre Goudiaby Atepa, l’un des plus gros investisseurs individuels de la Bourse régionale de l’UEMOA, dévoile ses ambitions pour la Place ouest-africaine, confie sa passion pour les marchés financiers et annonce d’importants développements à attendre à la BRVM.
Sommaire
Économie
Hydraulique – Le grand gâchis
Les Indiscrets
Entreprises & Marchés
Commerce – Les chaebols, fer de lance de Séoul en Afrique
Automobile – Pourquoi PSA Peugeot Citroën a changé d’avis sur le continent
Décideurs
Télécoms – Bruno Koné, au cœur des réseaux ivoiriens
Finance
Interview – Pierre Goudiaby Atepa : « La BRVM peut figurer parmi les trois premières Bourses africaines »
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Une de l'édition internationale et Maghreb et Moyen-Orient du n°2843 de Jeune Afrique. © DR
