Burundi : Consolata Ndayishimiye, la voix du privé

Consolata Ndayishimiye, présidente de la Chambre fédérale de commerce et d’industrie du Burundi.

ProfilAuteur_TshitengeLubabu

Publié le 18 septembre 2012 Lecture : 1 minute.

Pour la présidente de la Chambre fédérale de commerce et d’industrie du Burundi (CFCIB) et présidente honoraire de l’East African Business Council (EABC), « l’adhésion du Burundi à la Communauté est-africaine est salutaire », car elle donne accès à un large marché, stimule les partenariats et la création d’entreprises mixtes. Depuis qu’elle a pris les rênes de la CFCIB, en 2010, Consolata Ndayishimiye, 49 ans, oeuvre, avec les pouvoirs publics, à l’amélioration du climat des affaires, au renforcement du secteur privé et à la promotion de l’entrepreneuriat féminin. Des sujets que la businesswoman connaît bien. Sa grand-mère et sa mère étaient commerçantes et, après des études de gestion à l’Institut supérieur de commerce de Bujumbura, elle a ouvert en 1996 un restaurant dans la capitale (Le Barbecue), créé en 1998 une entreprise de décoration d’intérieur (La Belle Maison) et, en 2007, le centre artisanal Akeza, implanté à Bukeye (dans le nord de la province de Muramvya) et à Bujumbura.

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