Burundi : Consolata Ndayishimiye, la voix du privé
Consolata Ndayishimiye, présidente de la Chambre fédérale de commerce et d’industrie du Burundi.
Pour la présidente de la Chambre fédérale de commerce et d’industrie du Burundi (CFCIB) et présidente honoraire de l’East African Business Council (EABC), « l’adhésion du Burundi à la Communauté est-africaine est salutaire », car elle donne accès à un large marché, stimule les partenariats et la création d’entreprises mixtes. Depuis qu’elle a pris les rênes de la CFCIB, en 2010, Consolata Ndayishimiye, 49 ans, oeuvre, avec les pouvoirs publics, à l’amélioration du climat des affaires, au renforcement du secteur privé et à la promotion de l’entrepreneuriat féminin. Des sujets que la businesswoman connaît bien. Sa grand-mère et sa mère étaient commerçantes et, après des études de gestion à l’Institut supérieur de commerce de Bujumbura, elle a ouvert en 1996 un restaurant dans la capitale (Le Barbecue), créé en 1998 une entreprise de décoration d’intérieur (La Belle Maison) et, en 2007, le centre artisanal Akeza, implanté à Bukeye (dans le nord de la province de Muramvya) et à Bujumbura.
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