Coca Cola revient en Côte d’Ivoire
À l’occasion de la réouverture de son bureau d’Abidjan, le géant américain des sodas annonce sa stratégie africaine.
![Fermé en 2004, le bureau régional de Coca Cola pour l’Afrique de l’Ouest et centrale a rouvert ses portes mercredi 19 septembre. © AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2012/09/20/Coca-cola_cAFP.jpg)
Fermé en 2004, le bureau régional de Coca Cola pour l’Afrique de l’Ouest et centrale a rouvert ses portes mercredi 19 septembre. © AFP
Le 19 septembre, le zimbabwéen Nathan Kalumba, président de Coca Cola pour l’Afrique occidentale, australe et centrale, a expliqué que la nouvelle stratégie du groupe reposait sur sa confiance en l’Afrique.
Doubler les ventes d’ici à 2020
Le géant américain des boissons gazeuses et plates, qui envisageait d’investir 12 milliards de dollars au cours des huit prochaines années pour développer ses activités sur le continent africain, projette d’augmenter le montant de ses investissements dès 2013. Il n’a toutefois pas donné de détails sur les nouvelles sommes en jeu. La société américaine compte aussi doubler ses ventes sur le continent d’ici à 2020.
Nathan Kalumba, qui doit prendre ses nouvelles fonctions de président Eurasie-Afrique (Russie, Moyen-Orient, Afrique et Asie centrale) de Coca Cola début 2013, s’exprimait à l’occasion de la cérémonie de réouverture du bureau d’Abidjan, fermé en 2004 après les violents événements anti-français.
L'éco du jour.
Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »