Pétrole : l’exploration ne fait plus recette

Face à l’échec de son dernier appel d’offres pour l’attribution de nouveaux permis, l’Algérie veut rendre le cadre fiscal plus attrayant.

Sur 10 permis, l’État algérien n’en a distribué que trois dont un à la Sonatrach, la compagnie nationale. © Sonatrach

Sur 10 permis, l’État algérien n’en a distribué que trois dont un à la Sonatrach, la compagnie nationale. © Sonatrach

Publié le 6 août 2012 Lecture : 1 minute.

Les trois appels d’offres lancés par les autorités algériennes en vue de l’exploration de dix nouveaux blocs pétroliers ont rencontré un écho plus que mitigé : une poignée de compagnies seulement ont répondu. Finalement, trois permis ont été attribués : l’un à la compagnie nationale Sonatrach, un deuxième à un consortium asiatique (vietnamien, thaïlandais et chinois) et le dernier à l’espagnol Repsol.

Un cadre plus attrayant

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Ayant apparemment pris conscience du problème, les autorités s’efforcent de rendre le cadre fiscal plus attrayant, afin notamment de développer la production de gaz de schiste, plus coûteuse que celle des gaz classiques. Mais la nouvelle législation, qui aurait dû entrer en vigueur avant les législatives du 10 mai, ne devrait pas voir le jour avant l’automne.

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