Dans J.A. n° 2858 : Tunisie, quand l’union fait… la faiblesse
Dans son édition n° 2858, Jeune Afrique revient sur l’alliance historique entre Nidaa Tounès et Ennahdha. Une alliance dont les avantages ont cédé la place à des inconvénients de plus en plus évidents.
![Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi. © Montage J.A. Amine Landoulsi/Hassene Dridi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/10/18/ghannouchi_essebsi.jpg)
Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi. © Montage J.A. Amine Landoulsi/Hassene Dridi/AP/SIPA
L’alliance conclue entre les ennemis d’hier – modernistes de Nidaa Tounes et islamistes d’Ennahdha – augurait de lendemains meilleurs. Cette entente avait jeté les bases du compromis historique qui allait éviter à la Tunisie de connaître un sanglant scénario à l’égyptienne. Elle s’est finalement révélée source de blocage et d’immobilisme. Explications.
Le n°2858 de Jeune Afrique est disponible en édition digitale ici:
Couverture de J.A. n°2857. © J.A.
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