Cette semaine dans J.A. : comment Nidaa Tounes a perdu la tête

Alors que la Tunisie est régulièrement l’objet d’attaques terroristes, le parti au pouvoir se divise, risquant de favoriser un rapide retour du parti islamiste Ennahdha aux plus hautes fonctions. Une enquête à découvrir dans le J.A. n° 2863, en kiosques du 22 au 28 novembre.

Mohsen Marzouk et Hafedh Caïd Essebsi. © Sofia Barakat pour J.A. / AFP / Montage J.A.

Mohsen Marzouk et Hafedh Caïd Essebsi. © Sofia Barakat pour J.A. / AFP / Montage J.A.

Publié le 25 novembre 2015 Lecture : 0 minute.

Moins d’un an après sa victoire aux élections, Nidaa Tounes (au pouvoir) est le théâtre d’une impitoyable guerre de clans qui a tourné à l’avantage de Hafedh Caïd Essebsi, le fils du président, et abouti à la marginalisation de Mohsen Marzouk, secrétaire général du mouvement. Récit d’une implosion.

L’édition n°2863 de Jeune Afrique revient également sur les défis sécuritaires du continent avec un dossier spécial de 20 pages, et sur l’élection présidentielle burkinabè du 29 novembre, l’inquiétante absence du président algérien, et consacre un portrait à Kemi Adeosun, nouvelle ministre des Finances de la première économie d’Afrique, le Nigeria. Il est disponible en version digitale ici :

Couverture de Jeune Afrique n° 2863 © Couverture de Jeune Afrique n° 2863

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