Cette semaine dans J.A. : « jihadistes « made in Morocco »

Une semaine après l’attaque kamikaze en plein cœur de Tunis, et alors que Paris accueille la COP21 en plein état d’urgence, Jeune Afrique vous emmène sur la piste des jihadistes marocains. À découvrir dans le J.A. n° 2864, en kiosques du 29 novembre au 5 décembre.

Un officier de police devant des proches des suspects dans l’affaire de l’attentat du café Argana, près de Rabat, le 6 octobre 2011.

Un officier de police devant des proches des suspects dans l’affaire de l’attentat du café Argana, près de Rabat, le 6 octobre 2011.

Publié le 2 décembre 2015 Lecture : 1 minute.

Sur les 1500 combattants marocains partis en Syrie, entre 600 et 700 sont originaires du nord du royaume, une région longtemps négligée, acculée à la pauvreté et aux trafics en tous genres. De Tanger à Ceuta, Jeune Afrique a enquêté dans des quartiers chauds devenus de véritables viviers jihadistes et rencontré des familles qui ont vu l’un des leurs succomber au mirage sanglant de Daesh.

Dans ce numéro vous trouverez aussi une enquête complète sur la polémique de l’enregistrement d’une conversation présumée entre Djibrill Bassolé et Guillaume Soro : est-ce montage grossier ou les révélations sont-elles accablantes ? Jeune Afrique vous emmène également au cœur des tractations de la COP21 : quelles sont les revendications de l’Afrique, continent le plus touché par les changements climatiques ? Quelles sont ses possibilités ? Réponse ici dans la version digitale du J.A. 2864.

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Mohammed Shareef, ministre de l’envrionnement des maldives, escorté lors d’une manifestation de militants de Green Peace à Durban, Afrique du Sud (9 décembre 2011) © Shayne Robinson/AP/SIPA

Cette semaine dans J.A. : l’Afrique face au big bang climatique

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