Les cliniques tunisiennes malades
Le taux d’occupation des cliniques privées a chuté de plus de moitié, principalement en raison de la situation en Libye.
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À Tunis, le taux d’occupation des cliniques privées, victimes de la guerre en Libye (un pays qui assurait près de 80 % de leurs patients), a chuté de plus de 50 %. Dans le Sud, notamment à Sfax, où l’impact est encore plus élevé (le taux d’occupation a baissé de 90 %), trois cliniques ont fermé. Des licenciements sont envisagés. La Chambre tunisienne des cliniques privées réfléchit avec les autorités à trouver de nouveaux marchés et à étendre les prestations médicales assurées par le secteur privé.
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