Présidence de la Fifa : la CAF apporte son « soutien entier » à Cheikh Salman, candidat du Bahreïn
La Confédération africaine de football (CAF) a annoncé vendredi qu’elle apportait son « soutien entier » au Bahreïni Salman Bin Ibrahim Al-Khalifa, président de la Confédération asiatique, dans la course pour succéder à Sepp Blatter à la tête de la Fifa.
![Cheikh Salman, président de la Confédération asiatique. © Hasan Jamali/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/02/05/fifa.jpg)
Cheikh Salman, président de la Confédération asiatique. © Hasan Jamali/AP/SIPA
La Confédération africaine de football a annoncé soutenir le Cheikh Salman pour l’élection présidentielle de la Fifa. Le candidat sud-africain, Tokyo Sexwale, s’est quant à lui retiré de la course.
Dans l’idéal, Salman Bin Ibrahim Al-Khalifa, président de la Confédération asiatique, peut compter sur les cent voix de l’Asie, ainsi, donc, que sur les 54 votes africains. Son rival Gianni Infantino, Italo-Suisse, possède quant à lui le soutien de l’Europe, de l’Amérique du sud et de la Concacaf (98 voix). Les votes issus de l’Océanie devraient donc les départager.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »