Mauritanie : Azalaï ouvre les portes de son nouvel hôtel à Nouakchott
Un hôtel de 4 étoiles qui marque l’arrivée du groupe malien Azalaï Hôtels en Mauritanie, avant la prochaine ouverture du « vaisseau amiral » du groupe hôtelier malien à Abidjan.
Le 17 mars au soir, à Nouakchott, Azalaï Hôtels a officiellement ouvert les portes de son nouvel hôtel en Mauritanie, Azalaï Marhaba, un hôtel de 4 étoiles annoncé en octobre 2013 situé à proximité de l’aéroport international qui marque l’arrivée du groupe malien en Mauritanie.
Le nouveau palace, dont le coût de construction s’élève à 8 millions d’euros, compte 64 chambres — prochainement 70 autres ouvriront — et un grand jardin à même de recevoir un millier de personnes. C’est le septième établissement du groupe de Mossadeck Bally, qui était présent lors de l’inauguration à Nouakchott, par ailleurs implanté au Mali, au Bénin, au Burkina Faso et en Guinée-Bissau. Il aura face à lui sur le même segment de marché l’hôtel MauriCenter, le Wissal ou l’Hôtel Tfeïla, qui ont tous pignon sur rue dans la capitale mauritanienne.
Abidjan, Dakar, Niamey et Conakry parmi les prochaines ouvertures attendues
Une autre ouverture doit intervenir en 2016 à Abidjan dans ce qui constituerait « le vaisseau Amiral du groupe avec ses 202 chambres reparties sur 13 étages et un investissement total de 19 milliards de francs CFA », selon les propres termes de Mossadeck Bally. Suivront, ensuite, les hôtels Azalaï de Dakar (Sénégal), Niamey (Niger) et Conakry (Guinée).
L'éco du jour.
Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Économie & Entreprises
- Doublé par la junte au Mali, Maroc Telecom restera-t-il dans le pays ?
- Chez Itoc au Sénégal, les enfants de Baba Diao revisitent la gouvernance du groupe
- Carburant en Afrique : pourquoi les exportateurs mondiaux jouent des coudes pour a...
- « Neuf des vingt pays qui présentent les taux de croissance les plus forts au mond...
- Sénégal : à quoi doit servir la nouvelle banque de la diaspora ?