Olam : du Nigeria à Singapour

Trente pays et des usines dans treize d’entre eux. Le poids d’Olam sur le continent ne date pas d’hier. Le groupe y est même né à la fin des années 1980.

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Publié le 23 février 2011 Lecture : 1 minute.

 

Trente pays et des usines dans treize d’entre eux. Le poids d’Olam sur le continent ne date pas d’hier. Le groupe y est même né à la fin des années 1980. Il n’était alors qu’un exportateur nigérian de noix de cajou, filiale de l’indien Kewalram Chanrai. En dix ans, il s’est transformé en leader du négoce de produits agricoles et de denrées alimentaires, affichant 6,1 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2010.

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Pour se développer sur l’ensemble de la chaîne de valeur agro-industrielle, Sunny Verghese, le cerveau qui a bâti le succès d’Olam, a quitté le Nigeria pour rejoindre les centres financiers mondiaux : Londres jusqu’en 1996, puis Singapour. Il a aussi insufflé avec quelques autres groupes asiatiques comme Wilmar un peu de transparence dans un secteur qui adore l’opacité. Coté en Bourse, Olam communique sur toutes ses opérations.

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