Télécoms : la 3G, catalyseur politique

L’année 2011 a montré l’impact des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) sur les changements politiques. Une évolution qui doit se poursuivre en 2012.

Publié le 3 janvier 2012 Lecture : 1 minute.

Niger, Gabon, Centrafrique, Congo-Brazzaville… La 3G se développe dans de nombreux pays francophones, qui sautent enfin dans le wagon de l’internet mobile. Et le mouvement devrait se poursuivre en 2012 avec des annonces attendues en Côte d’Ivoire, au Cameroun et en RDC. Bien sûr, les smartphones, indispensables pour savourer les plaisirs du haut débit, restent chers – à partir de 80 euros -, mais les opérateurs télécoms devraient tout mettre en œuvre pour en faire baisser les prix. En Afrique du Sud, les échanges de données représentaient déjà 15 % des revenus de Vodacom, soit 450 millions de dollars (330 millions d’euros), entre mars et septembre 2011. Si cette évolution technologique apporte un confort dans la vie quotidienne, elle n’est pas neutre sur le plan politique. La circulation instantanée des vidéos et des informations sur les réseaux sociaux a décuplé le souffle des révolutions arabes

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