Cette semaine dans « Jeune Afrique »
Dans son édition de cette semaine, « Jeune Afrique » analyse la situation économique du Nigeria. À la veille de l’élection présidentielle, la première économie africaine vacille, affectée par l’effondrement des prix du pétrole. À qui la faute ?
Le marché de Balogun, à Lagos. © Gwenn Dubourthoumieu pour J.A
Publié le 9 février 2015 Lecture : 2 minutes.
Dans son édition n°2822 du 8 au 14 février 2015, Jeune Afrique se penche sur le sort du Nigeria. À quelques semaines de l’élection présidentielle, le pays vacille : ses prévisions de croissance sont revues à la baisse, le budget fédéral a été soumis à des coupes sévères, la capitalisation de la Bourse de Lagos a fondu et la monnaie nationale, le naira, a cédé plus de 10 % au dollar américain.
Qu’il semble loin ce jour d’avril 2014, quand à la suite d’une révision de son PIB, le géant ouest-africain est devenu la première économique africaine. Depuis, la situation économique du pays s’est renversée, suite à la chute du prix du pétrole (passé de 115 à 50 dollars en à peine un semestre).
Que s’est-il passé ? À qui la faute ? À quoi s’attendre cette année ? Autant de questions auxquelles répond Jeune Afrique dans cette nouvelle édition.
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Dans les Indiscrets de cette semaine, le magazine dévoile en exclusivité les plans qu’envisage Total pour ses stations-service sur le continent. Découvrez également les ambitions du marocain Cosumar dans l’industrie sucrière en Afrique centrale ainsi que celles de l’armateur italo-suisse Mediterranean Shipping Company (MSC) en Afrique de l’Ouest.
En section Entreprises et marchés, Jeune Afrique se penche sur la difficile relance de l’aciériste marocain Maghreb Steel, alors que son directeur général, recruté il y a seulement quatre mois a subitement démissionné…
Le Décideur de la semaine est James Onobiono. À 64 ans, le grand patron camerounais des années 1980 tente de se relancer avec le fonds d’investissements Propero.
En Finance, Jeune Afrique dévoile en exclusivité les derniers développements de la mutation amorcée par le holding royal marocain SNI et annonce les détails du nouveau plan de réorganisation qui doit achever sa métamorphose en fonds d’investissements.
Sommaire
Economie
Nigeria – Le géant vacille
Les indiscrets
Entreprises et marchés
Industrie – Maghreb Steel, histoire d’un sauvetage difficile
Décideurs
Cameroun – Fin de la traversée du désert pour James Onobiono ?
Finance
Stratégie – Au Maroc, la SNI accélère son reformatage
