Quatre-vingts ans de négritude
Au mois de mai prochain, le mouvement de la négritude aura 80 ans. Le mot est en effet apparu en 1935 sous la plume d’Aimé Césaire dans » L’Étudiant noir », journal mensuel de l’Association des étudiants martiniquais de France.
![Senghor et Césaire (à dr.) en 1973. © Archives JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/01/21/02101201518414100000020150121cesaire.jpg)
Senghor et Césaire (à dr.) en 1973. © Archives JA
Considérant que "la négritude est un pas vers l’universalité", le Pr Bernard Lecherbonnier et Henri Senghor, ambassadeur honoraire du Sénégal, s’efforcent de réunir des partenaires intellectuels et financiers qui permettent de célébrer dignement l’événement.
Leur programme ? Organisation d’un colloque universitaire et d’une exposition documentaire pluridisciplinaire, publication d’un catalogue "objet de mémoire" et réalisation d’un film.
Pour en savoir plus sur la négritude :
• La révolte de Frantz Fanon, par Aimé Césaire
• Léon-Gontran Dama, le troisième homme
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