Remplissage des stades de la CAN : c’est Obiang qui régale
Depuis le début de la compétition, samedi dernier, les stades sont plutôt bien remplis en Guinée équatoriale. Un challenge pour un petit pays qui compte à peine 800 000 habitants.
![Le 4 décembre, Obiang annonce que son pays accepte d’organiser la CAN. © Stephane de Sakutin/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/01/19/019012015145459000000JA2819p008.jpg)
Le 4 décembre, Obiang annonce que son pays accepte d’organiser la CAN. © Stephane de Sakutin/AFP
Les Équato-Guinéens se rendront-ils au stade pour assister aux matchs de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2015), qui a débuté le 17 janvier à Bata ? C’était la question qui se posait au lancement de la compétition et qui pouvait faire échouer le pari de la Guinée équato d’avoir choisi au pied levé de l’organiser en remplacement du Maroc.
>> Lire aussi : comment la Guinée équatoriale s’est imposée
Pour en être tour à fait sûr, Teodoro Obiang Nguema a fortement incité les entreprises locales à acheter 35 000 billets et à les distribuer gratuitement à leurs salariés et à leurs familles.
L’État en a pour sa part, dans le même objectif, acquis 40 000. Et a, en outre, enjoint tous les fonctionnaires d’en acheter six pour chaque match. Pour preuve de leur achat, il leur est conseillé de se faire délivrer un reçu…
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