Musique : Alsarah et sa rétro-pop est-africaine
Lumière sur le combo soudanais, Alsarah & The Nubatones, qui délivrera son 2e album le 30 septembre prochain : Manara.
![Sarah Mohamed Abunama-Elgadi. © alsarah.com](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/09/26/alsarah-and-the-nubatones.jpg)
Sarah Mohamed Abunama-Elgadi. © alsarah.com
Songwriteuse, vocaliste et ethnomusicologue basée à Brooklyn, Alsarah – née Sarah Mohamed Abunama-Elgadi au Soudan de parents défenseurs des droits de l’homme – quitte son pays natal à l’âge de huit ans après le coup d’état de 1989.
Sa famille s’installe alors au Yémen, mais la guerre civile éclate en 1994. Et lelle se voit dans l’obligation de s’envoler outre-Atlantique, où elle obtient le statut de réfugiée politique.
C’est à Boston, la plus européenne des villes américaines, qu’Alsarah grandira. Et nourrira son imaginaire, au gré de ces expériences difficiles. La jeune femme commence par pianoter sur un vieux clavier et à bénéficier de leçons conduites par un ami de la famille, avant de rejoindre différentes chorales estampillées « World Music » établies un peu partout aux États-Unis.
Lire la suite – et découvrir un extrait de l’album en vidéo – sur Into The Chic, une publication de Jeune Afrique, en cliquant ici.
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