Antonin Lévy, de la Somalie à la Guinée équatoriale

De confortables honoraires, une grande exposition médiatique, le tout dans un cadre juridique familier, hérité du temps des colonies… Quelles que soient la complexité des dossiers ou la réputation de leurs puissants clients, les plus grands ténors français se pressent sur le continent pour les défendre.

Publié le 26 décembre 2014 Lecture : 1 minute.

S’il est le fils de l’intellectuel médiatique Bernard-Henry Lévy, et plutôt bel homme, il est surtout un avocat de 34 ans brillant, discret et cultivé. En 2007, il cofonde l’association Pierre-Claver, qui offre une aide judiciaire aux demandeurs d’asile.

Puis en 2011, il devient associé au cabinet de son modèle, feu Olivier Metzner, et défend notamment un pirate somalien jugé pour avoir détourné des navires français. Benjamin de l’équipe, il devient l’avocat de l’État de Guinée équatoriale, qu’il défend dans l’affaire des Biens mal acquis aux côtés d’un autre talent de chez Metzner, Emmanuel Marsigny, qui plaide pour le président Teodoro Obiang Nguema. Début 2014, Antonin Lévy a rejoint l’équipe du cabinet d’avocats international Hogan Lovells.

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