Olivier Morice, fort en gueule
De confortables honoraires, une grande exposition médiatique, le tout dans un cadre juridique familier, hérité du temps des colonies… Quelles que soient la complexité des dossiers ou la réputation de leurs puissants clients, les plus grands ténors français se pressent sur le continent pour les défendre.
![Olivier Morice. © Fred Dufour/AFP](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2014/12/26/012122014175718000000JA2814p024_morice.jpg)
Olivier Morice. © Fred Dufour/AFP
À 54 ans, après trente ans de barreau, il est connu pour ses coups de gueule, souvent contre la "raison d’État". Celui qui, avec le juge Trévidic, a contribué à exhumer l’affaire Karachi oeuvre aussi sur le continent.
Il a notamment travaillé sur le suicide requalifié en assassinat du juge Borrel à Djibouti et sur la plainte de Pierre Legrand, ancien otage d’Arlit, au Niger. Celui-ci s’est constitué partie civile contre son employeur, Areva, pour défaut de sécurité sur le site d’extraction d’uranium.
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