Centrafrique : rapporteurs sous pression

Publié le 24 novembre 2014 Lecture : 1 minute.

Nommée en janvier, la commission d’enquête des Nations unies sur les violations des droits de l’homme en République centrafricaine doit remettre son rapport final à la fin de ce mois ou au début du suivant. "S’il est acceptable en l’état", tempère un fonctionnaire de l’ONU. la première version d’un rapport préliminaire remis au mois de juin a en effet été rejeté. "Il était mal écrit, présentait des problèmes de mise en page et, surtout, contenait des accusations infondées", poursuit notre interlocuteur.

De quoi ternir la réputation d’une commission pourtant composée d’experts à la renommée bien établie : Philip Alston, un universitaire australien ; l’avocate mauritanienne Fatimata M’Baye, vice-présidente de la Fédération internationale des droits de l’homme ; et Bernard Acho Muna, avocat à la Cour suprême du Cameroun et ancien vice-procureur au Tribunal pénal international pour le Rwanda.

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