Francophonie : candidats au poste de secrétaire général, leurs atouts et leurs faiblesses

Dimanche à Dakar, les chefs d’États membres de la Francophonie éliront le nouveau secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Présentation des points forts et faibles des cinq prétendants.

Les cinq candidats à la Francophonie. © Jeune Afrique/Capture d’écran YouTube.

Les cinq candidats à la Francophonie. © Jeune Afrique/Capture d’écran YouTube.

ProfilAuteur_PierreBoisselet

Publié le 27 novembre 2014 Lecture : 1 minute.

Dans l’histoire de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), la course à la succession à Abdou Diouf au poste de secrétaire général, est une première. Pendant des mois, les candidatures (parfois éphémères) se sont succédées. Certains prétendants ont mené des campagnes très intenses, à l’image de la canadienne Michaëlle Jean (CN), qui a voyagé sur les cinq continents.

>> Lire aussi : OIF: qui pour succéder à Abdou Diouf ?

Dans cette dernière ligne droite (l’élection aura lieu dimanche 30 novembre, dans le huis clos des chefs d’États, lors du Sommet de la francophonie de Dakar) cinq candidats officiellement présentés par leur pays, sont toujours en course. Quels sont les points forts et les points faibles de chacun ? Revue de détails, en gardant à l’esprit qu’un nouveau candidat peut toujours sortir du chapeau à la dernière minute.
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Michaëlle Jean (Canada)
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>> Lire aussi : Michaëlle Jean : "Ma candidature à la Francophonie est le résultat d’une écoute"

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Jean-Claude de l’Estrac (Maurice)

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>> Lire aussi : Jean Claude de l’Estrac : "L’OIF a besoin de concret"

Pierre Buyoya (Burundi)

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>> Lire aussi : Pierre Buyoya : "Je me considère comme un réformateur"

Henri Lopes  (Congo-Brazzaville)

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>> Lire aussi : Henri Lopes : "Les chefs d’État savent qui je suis"

Agustin Nze Nfumu (Guinée équatoriale)

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