Gabon – Ali Bongo Ondimba : « L’impunité, c’est fini »
Dans le n°2800 de « Jeune Afrique », en kiosque le 7 septembre, retrouvez l’interview du président gabonais, Ali Bongo Ondimba.
Un an après sa dernière interview accordée à Jeune Afrique, Ali Bongo Ondimba, président du Gabon depuis cinq ans, semble avoir pris de la hauteur. Hier Mba Obame, aujourd’hui Jean Ping… face à une opposition qui s’agite, lui reste de marbre : "Ils ont besoin de se faire entendre !" Sur les dossiers intérieurs, il défend avec force et conviction un premier bilan qu’il qualifie lui-même d’imparfait : "Peut faire plus, et mieux."
C’est ainsi qu’il déclare ente autre l’impunité définitivement terminée : que ce soit la gestion des deniers de l’État ou les agissements des firmes étrangères, tout le monde doit montrer patte blanche. La lutte contre la pauvreté, ou encore la construction de logements sociaux, seront au coeur des priorités du nouveau Premier ministre, Daniel Ona Ono.
Sur la politique étrangère, aussi, il semble avoir ajusté son costume de leader dans une région touchée par de multiples crises. Ali Bongo Ondimba n’élude aucune question : qu’il s’agisse de la Centrafrique, du virus Ebola ou de Boko Haram. Les liens étroits du pays avec la France sont évoqués. Lui qui n’a jamais caché sa proximité avec l’ancien président, Nicolas Sarkozy, dit avoir appris "à connaître François Hollande".
La grande interwiew d’Ali Bongo Ondimba, dans Jeune Afrique n°2800, en kiosque le 7 septembre.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Politique
- Origines algériennes de Jordan Bardella : enquête sur un tabou
- Après l’Algérie, le Maroc : nouvelles révélations sur les liens de Jordan Bardella avec le Maghreb
- Damiba à Ibrahim Traoré : « Je ne peux pas garder le silence face aux exactions contre les civils »
- Au Burkina Faso, la fuite en avant répressive d’Ibrahim Traoré
- Maroc : mort de la princesse Lalla Latifa, mère de Mohammed VI