Cette semaine dans « Jeune Afrique »

Cette semaine, « Jeune Afrique » se penche sur la situation des compagnies pétrolières publiques africaines. Créées pour permettre aux États du continent de contrôler leurs ressources naturelles, elles ne peuvent pourtant pas rivaliser avec les multinationales. La faute à qui ?

En Angola, la production des plateormes de Sonangol reste modeste, autour de 93 000 barils par jour. © Sonangol

En Angola, la production des plateormes de Sonangol reste modeste, autour de 93 000 barils par jour. © Sonangol

Publié le 8 décembre 2014 Lecture : 2 minutes.

Dans son édition n°2813 du 07 au 13 décembre 2014, Jeune Afrique s’intéresse au sort des compagnies pétrolières publiques africaines. Elles s’appellent Sonatrach en Algérie, SHT au TChad, Petroci en Côte d’Ivoire… Créées pour permettre aux États de garder le contrôle sur les ressources naturelles, elles s’avèrent incapables aujourd’hui de rivaliser avec les multinationales de l’or noir. Comment pourraient-elles y arriver quand elles n’ont pas les mains libres ? Dans sa nouvelle édition, le magazine panafricain leur adresse un message simple : « Compagnies pétrolières publiques, émancipez-vous ! »

Le magazine Jeune Afrique est disponible aussi en version numérique. 


la suite après cette publicité

uneJA2813Découvrez la dernière édition de l’hebdomadaire ici.

Retrouvez les éditions précédentes, les hors-séries et les éditions spéciales de votre magazine préféré, dans la boutique en ligne de Jeune Afrique.

Dans les Indiscrets de cette semaine, le magazine livre le verdict final du conflit fiscal opposant Total à l’État gabonais et annonce en exclusivité la solution acceptée par les différentes parties.

Jeune Afrique dévoile également comment un géant nigérian du commerce en ligne compte s’établir hors du marché local. Les acteurs de cette expansion, les pays ciblés et le calendrier de déploiement sont à découvrir dans l’édition de cette semaine.

la suite après cette publicité

Dans la section Entreprises et marchés, le magazine s’intéresse au futur du groupe télécoms Millicom (Tigo) dont le PDG Hans-Holger Albrecht a démissionné début décembre. Quel sera l’impact de cette décision sur la stratégie du groupe qui compte près de 24 millions de clients en Afrique et y réalise un chiffre d’affaires de 585 millions d’euros ?

Toujours dans cette section, le magazine dévoile comment Unilever veut reconquérir l’Afrique de l’Ouest, une région où le géant anglo-néerlandais de la consommation a été secoué par la concurrence.

la suite après cette publicité

Le Décideur de la semaine est Hicham Naciri. L’héritier du célèbre bâtonnier Taieb Naciri a fait du cabinet familial une référence dans le monde des affaires, à Casablanca comme à l’international. Le magazine dresse cette semaine le portrait d’un des avocats les plus en vue au Maroc.

En section Finance, le magazine s’intéresse au paradoxe des fusions-acquisitions en Afrique subsaharienne. Alors que le nombre de transactions dans la région est en passe de battre un nouveau record, leur taille en revanche est en recul. À quoi est-ce dû ? S’agit-il d’un évolution durable ou d’une phase passagère, conjoncturelle ? La réponse cette semaine dans Jeune Afrique.

Sommaire

Economie
Compagnies pétrolières publiques – Émancipez-vous !

Les indiscrets

Entreprises et marchés
Télécoms Quel cap choisira Millicom après le départ de son chef ?
Consommation – Comment Unilever veut reconquérir l’Afrique de l’Ouest

Décideurs
Maroc – Hicham Naciri, le droit de père en fils

Finance
Fusions-acquisitions – Les deals se multiplient… mais leur taille se réduit.

L'éco du jour.

Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.

Image

Contenus partenaires