La Tunisie en quête d’une nouvelle politique étrangère
Conflit libyen, diplomatie africaine, position dans le monde arabe : la Tunisie doit se réadapter à une nouvelle donne géopolitique.
![Le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui et son homologue français Jean-Yves Le Drian, à Tunis le 4 juin 2017 © HD/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/06/05/le-drian.png)
Le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui et son homologue français Jean-Yves Le Drian, à Tunis le 4 juin 2017 © HD/AP/SIPA
![Youssef Chahed, chef du gouvernement tunisien, juste avant d’obtenir le vote de confiance pour son second gouvernement (à d. Mohamed Naceur). A Tunis, le 11 septembre 2017. © Hassene Dridi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/09/12/sipa_ap22101830_000001-e1529144125670.jpg)
Tunisie : l’heure des choix pour Youssef Chahed
Dos au mur compte tenu de la situation économique alarmante, le nouveau gouvernement devra prendre les décisions qui s’imposent, mais aussi accélérer la cadence. Revue de détail des principaux défis qui l’attendent.
La politique étrangère relève des prérogatives du président de la République et du chef du gouvernement. En deux ans, la Tunisie a reconquis une part de sa visibilité sur la scène internationale, mais le changement de la donne géopolitique régionale l’oblige à se repositionner et à déployer une nouvelle forme de diplomatie, dite économique.
Des jalons en ce sens ont été posés avec le projet d’ouverture de nouvelles ambassades en Afrique d’ici à 2018, mais la Tunisie doit aussi retrouver sa place au sein du monde arabe et s’affirmer en tant qu’interlocuteur dans le conflit libyen. Mais, malgré la dynamique impulsée par les Affaires étrangères, l’instabilité politique, la crise économique et les emprunts levés à l’international empêchent le pays de renouer avec le rayonnement diplomatique qui fut le sien.
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![Youssef Chahed, chef du gouvernement tunisien, juste avant d’obtenir le vote de confiance pour son second gouvernement (à d. Mohamed Naceur). A Tunis, le 11 septembre 2017. © Hassene Dridi/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=72,height=88,fit=crop/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2017/09/12/sipa_ap22101830_000001-e1529144125670.jpg)
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