Affaires sociales : la Tunisie doit faire face à l’urgence mais aussi innover

Avec un déficit des caisses sociales et de l’assurance maladie avoisinant 2 milliards de dinars en 2017, des mesures urgentes, comme le prolongement de l’âge du départ à la retraite et la diversification des sources de financement, s’imposent.

Publié le 25 septembre 2017 Lecture : 0 minute.

Youssef Chahed, chef du gouvernement tunisien, juste avant d’obtenir le vote de confiance pour son second gouvernement (à d. Mohamed Naceur). A Tunis, le 11 septembre 2017. © Hassene Dridi/AP/SIPA
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Tunisie : l’heure des choix pour Youssef Chahed

Dos au mur compte tenu de la situation économique alarmante, le nouveau gouvernement devra prendre les décisions qui s’imposent, mais aussi accélérer la cadence. Revue de détail des principaux défis qui l’attendent.

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Mais il faudra aussi imaginer des solutions innovantes pour la gestion des ressources des caisses, comme l’élargissement de la base de couverture sociale aux opérateurs de l’économie informelle et aux personnes non déclarées. Autre volet non moins important, la mise en place d’un plan social qui serait approuvé par les centrales syndicales.

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