Mise à l’index
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L’arrestation à Minsk, le 30 octobre, du syndicaliste Aliaksandr Bukhvostau a déclenché un processus de mise à l’index de la Biélorussie au niveau international. L’Organisation internationale du travail (OIT), une agence des Nations unies, en a pris l’initiative en créant une commission d’enquête pour violation des droits de l’homme. Bukhvostau était en effet l’un des rares démocrates encore présents dans la direction de la Fédération des syndicats de Biélorussie, forte de quatre millions de membres. L’OIT avait déjà mis en garde le président Aleksandr Lukashenka contre les brimades dont étaient victimes les syndicalistes.
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