Zafira, le renouveau

Publié le 31 octobre 2005 Lecture : 1 minute.

Pour contrer l’arrivée sur le marché des monospaces compacts offrant sept places assises, le pionnier de la formule, Opel, vient de faire subir à son Zafira une cure de jouvence. Cure qui passe par une redéfinition de l’offre mécanique (moteurs et boîtes), des finitions et des équipements. Toutes ces améliorations visent à affirmer un peu plus le caractère unique de ce véhicule, capable de passer très facilement de une à sept places (plus facilement encore que le modèle précédent), les sièges inutilisés s’escamotant dans le plancher plat.
Côté diesel, le moteur de 120 chevaux qui équipait notre voiture d’essai peut paraître un peu juste surtout si le véhicule est chargé (et comme c’est sa vocation…). La boîte automatique à six vitesses est performante. Elle peut se commander en manuel, mais dommage qu’il n’y ait pas de palettes au volant.
Les montants du toit sont très inclinés vers l’avant ; bien qu’ils ne soient pas très larges, celui de gauche masque la vue dans certains virages ou ronds-points, obligeant le conducteur à adopter une position inconfortable.
Avec ce nouveau Zafira, Opel innove aussi du côté du toit, avec le « pavillon aviation » proposé en option. Il s’agit de quatre panneaux vitrés, répartis de part et d’autre d’une console centrale de rangement (bienvenue, vu l’exiguïté du coffre tous sièges déployés).
Globalement, tout est bon ! De quoi permettre à cette Opel de rester une des références dans le domaine des monospaces compacts.

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