Une terre si fertile

Publié le 1 octobre 2007 Lecture : 1 minute.

Dès l’Antiquité, Romains et Byzantins avaient investi cette plaine agricole fertile et prospère. Au XIXe siècle, les beys qui régnaient sur la Tunisie s’y étaient taillé un vaste domaine de plus de 100 000 hectares où ils venaient se reposer. Ce qui lui valut le nom de Dar el-Bey (« la Maison du Bey »). Dès le début de la colonisation, en 1881, Enfidha passe entre les mains des Français, qui la baptisent « Enfidaville » nom qu’elle gardera jusqu’à l’indépendance, en 1956. Au début des années 1960, les terres sont récupérées et rentrent dans le giron de l’Office des terres domaniales. Aujourd’hui, la population de la commune atteint à peine 10 000 habitants. Enfidha vit de l’agriculture, de l’artisanat et d’une industrie locale dynamique (textile, ciment, chaussures et équipements automobiles).

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