Sonja Ranarivelo

Présidente de l’association de professionnels du tourisme (Madagascar)

Publié le 1 octobre 2007 Lecture : 1 minute.

« Depuis quelques années, un guichet unique se met en place. Il y a toujours un grand nombre de formalités à effectuer pour créer une société, mais tout se fait maintenant au même endroit, ce qui raccourcit les délais. En deux mois, un entrepreneur étranger peut avoir une situation à peu près claire. Cette année, des procédures inutiles ont été supprimées, comme la légalisation des signatures ou la certification des copies. Ce qui bloque encore, c’est la corruption. La facilitation des affaires et la transparence sont les ennemis de certains fonctionnaires. À Antananarivo, les changements se déroulent normalement. Mais en province, on rencontre certaines résistances. Les délais d’importation et d’exportation sont très longs. Mon entreprise, toute petite importatrice, en fait les frais. La fiscalité reste également un frein. »

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires