Ils ont dit

Publié le 31 juillet 2006 Lecture : 1 minute.

Amine Gemayel
Ancien président libanais
– Depuis le retrait syrien, le gouvernement libanais est le maillon faible. Le président de la République, Emile Lahoud, est inféodé à Damas et, sur le terrain, son allié est le Hezbollah.

Yoram Peri
Sociologue israélien
– Chez nous, il n’y a pas de supervision de l’armée par les civils. Le ministre de la Défense, par exemple, n’a pas d’autres moyens d’analyse que ceux de l’état-major, dont la position est « d’abord on détruit, et après on parle ».

la suite après cette publicité

Shimon Pérès
Vice-Premier ministre israélien
– Libanais, nous savons parfaitement que la guerre sème la destruction dans votre beau pays, et nos curs se serrent. Mais nous n’avons pas le choix : c’est nous ou le Hezbollah. Et vous également, vous n’avez pas le choix : c’est vous ou le Hezbollah.

Mgr Michel Sabbah
Patriarche latin de Jérusalem
– Il est irréaliste de vouloir faire disparaître le Hamas et le Hezbollah. C’est la situation d’oppression qui fait naître et prospérer ces mouvements.

George W. Bush
Président américain
– Nous devons extirper les racines de la violence dans la région. Notre mission, notre but est d’obtenir une paix durable, pas une paix provisoire mais quelque chose qui dure.

Hussein Hajj Hassan
Professeur à l’Université libanaise, député du Hezbollah
– L’Occident nous demande des comptes. En demande-t-il à Israël ? Le Hezbollah ne se soumettra pas.

la suite après cette publicité

La Matinale.

Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.

Image

Contenus partenaires