Comores : Azali Assoumani vise un second mandat, l’opposition dénonce des abus de pouvoir
Alors que la Constitution actuelle lui interdit de briguer un second mandat, le président comorien a annoncé vouloir se représenter en 2019 si le « oui » l’emporte au référendum constitutionnel du 29 juillet.
![Azali Assoumani, le président de l’Union des Comores. © Vincent Fournier/JA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/02/02/vf16101013180005.jpg)
Azali Assoumani, le président de l’Union des Comores. © Vincent Fournier/JA
« Si le “non” l’emporte, le président termine son mandat et se retire. Si c’est le “oui” qui l’emporte, il démissionne et remettra son mandat en jeu », a déclaré mardi Mohamed Ismailla, le porte-parole du président Azali Assoumani, au cours d’un point de presse à Moroni.
En vertu du principe atypique de la présidence tournante – tous les cinq ans – entre les trois îles qui composent l’Union des
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