Le cabinet Norton Rose Fullbright pense encore à l’Afrique

Le cabinet d’avocats Norton Rose Fullbright, historiquement présent en Afrique du Sud, veut ouvrir d’autres bureaux sur le continent, notamment en Afrique de l’Est et dans la pointe sud du continent.

Sur le continent, Norton Rose Fulbright est représenté par plus 200 avocats.

Sur le continent, Norton Rose Fulbright est représenté par plus 200 avocats.

Publié le 27 octobre 2014 Lecture : 1 minute.

Présent au Maroc, en Tanzanie et en Afrique du Sud, le cabinet d’avocats Norton Rose Fullbright veut poursuivre son ouverture sur d’autres bureaux sur le continent. Les associés de Paris, Londres et Johannesburg se retrouveront en Afrique du Sud début novembre pour évoquer de nouveaux projets en Afrique de l’Est et en Afrique australe.

Devancé

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Côté francophone, Abidjan suscite toujours un certain intérêt, même si Norton Rose Fullbright vient d’être devancé par Orrick dans la capitale économique de la Côte d’Ivoire.

Quant à Kinshasa, l’implantation a été envisagée en 2012, mais outre des problèmes de ressources humaines, la crainte d’être taxé sur l’ensemble du chiffre d’affaires réalisé pour des clients présents en RD Congo – y compris lorsque l’affaire a été traitée depuis Paris ou Le Cap a entraîné le report du projet dine die.

Sur le continent, le cabinet international opère dans 40 juridictions, emploie environ 500 salariés dont plus de 200 avocats.

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