Ils ont dit

Publié le 2 avril 2003 Lecture : 1 minute.

Jalal Talabani, président de l’UPK
Une fois libérés de la dictature, les Kurdes n’auront aucune raison de faire sécession.

Colonel Chris Vernon, porte-parole de l’armée britannique
Bien sûr qu’on va gagner cette guerre ! La seule question, c’est de savoir quand. Mais pour la gagner, c’est évident, il faut commencer par ne pas perdre celle des images.

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Baker el-Hakim, haut dignitaire chiite irakien
Ce n’est pas une guerre de libération comme le prétendent les Américano-Britanniques, mais une guerre d’agression. Nous qui sommes pourtant les plus fermes opposants au régime irakien ne voulons prendre aucune part à cette guerre.

George W. Bush, président des États-Unis
J’ai eu un problème avec l’alcool. Aujourd’hui, je devrais être dans un bar, pas dans le Bureau ovale. Il n’y a qu’une raison pour laquelle je suis dans le Bureau ovale et pas dans un bar. J’ai trouvé la foi. J’ai trouvé Dieu.

José María Aznar, Premier ministre espagnol
L’ordre international de la guerre froide a été balayé ; une nouvelle ère s’ouvre dans laquelle l’Espagne doit faire partie du camp des vainqueurs.

Scott Ritter, inspecteur de l’ONU en Irak de 1991 à 1998
C’est pour moi un comble de voir Georges W. Bush se rendre coupable d’une agression non provoquée. Faut-il lui rappeler que c’est, entre autres, pour cela que les dirigeants nazis ont été jugés à Nuremberg ?

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Maraan G. Mirkhan, porte-parole du bureau politique du PDK
Les intérêts des États-Unis et ceux des Kurdes coïncident pour la première fois. Jusqu’il y a peu, c’était le contraire. Tous les régimes occidentaux soutenaient Bagdad.

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