Edoh Kossi Amenounvé : « Être coté en Afrique est une protection pour les multinationales »

Alors que MTN se positionne en force sur les bourses de Lagos et Accra, Edoh Kossi Amenounvé, directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), basée à Abidjan, fait le point pour Jeune Afrique sur la situation des cotations des opérateurs de télécoms en Afrique de l’Ouest.

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Publié le 25 juin 2018 Lecture : 2 minutes.

L’opérateur télécoms panafricain MTN met les bouchées doubles pour la cotation de ses filiales nigériane et ghanéenne à Lagos et à Accra, respectivement. La presse est-africaine évoque, pour sa part, une introduction en Bourse de MTN Uganda. Qu’en est-il en Afrique de l’Ouest francophone ? Jeune Afrique a interrogé le directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), basée à Abidjan et commune au huit pays de la zone Uemoa.

Jeune Afrique : La Bourse d’Abidjan ne compte que deux opérateurs télécoms (Sonatel et Onatel). Comment voyez-vous son évolution à moyen terme ?

Edoh Kossi Amenounvé : Nous souhaitons définitivement que d’autres opérateurs télécoms comme Orange Côte d’Ivoire, MTN Côte d’Ivoire et MTN Bénin, Sotelma etc. soient cotés à la BRVM.

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