Unis contre les Kurdes
Le PKK (parti indépendantiste kurde) aurait envoyé quarante-deux de ses militants en Syrie pour y provoquer des troubles et attiser les tensions entre populations arabe et kurde. Cette infiltration, en provenance de trois pays différents, aurait été commanditée le 10 mars par Abdullah Öcalan, le leader du PKK, qui purge une peine de prison à vie en Turquie. C’est du moins l’information qu’a transmise Ankara à Damas, avec qui il entretient désormais de meilleures relations, la guerre en Irak avivant leurs craintes respectives de voir resurgir sur leur sol le séparatisme kurde.
Info ou intox ? Quoi qu’il en soit, les émeutes qui ont éclaté le 12 mars dans le nord-est de la Syrie auraient fait une trentaine de victimes en six jours.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?