La Chine en quarantaine
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Il aura fallu près de six mois pour que la Chine, épicentre de la pneumopathie atypique, admette la gravité de la situation. Et donc autant de temps pour que la population sache comment s’en prémunir. Trop tard ? Le 24 avril, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recensait 4 439 cas dans 26 pays, dont 263 mortels. Soit, en vingt-quatre heures, 12 morts de plus et 158 nouveaux cas. L’agence onusienne a recommandé l’annulation de tous les voyages en Chine. Jean-Pierre Raffarin, le Premier ministre français, n’a pas reculé, mais a pris soin de préréserver des chambres dans un hôpital pékinois, au cas où…
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise