Frontières sous haute surveillance
Publié le 28 avril 2008 Lecture : 1 minute.
La coopération militaire entre Alger et Tunis devrait être encore renforcée après le rapt de deux touristes autrichiens, le 22 février, par les djihadistes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), dans la région de Tataouine (Sud tunisien). Kamel Morjane, ministre tunisien de la Défense, a reçu le 23 avril le général algérien Mohamed Zenakhri. Au menu de leur entretien, une évaluation de la mise en ÂÂoeuvre du programme de coopération entre les deux armées pour la période 2007-2008 et l’élaboration de celui des deux années suivantes. L’objectif est de parvenir à une meilleure coordination en matière de renseignement sur les agissements d’AQMI dans les régions frontalières, entre Tebessa, au nord, et Oued Souf, au sud.
