Doléances françaises au Congo

Publié le 28 février 2005 Lecture : 0 minute.

« Nous perdons de l’argent depuis notre implantation dans le nord du Congo, il y a quatre ans », se lamente le patron d’une société forestière française, qui dénonce notamment le montant trop élevé des taxes (15 % du chiffre d’affaires) et les contraintes administratives. Exemple : « Nous devons annoncer au préalable le volume des coupes qui seront pratiquées. En cas de dépassement, les pénalités atteignent des sommes vertigineuses. » Selon ce dirigeant de société, certains responsables politiques africains n’ont pas encore pris conscience des incidences financières des plans d’aménagement mis en oeuvre pour préserver les forêts d’Afrique centrale.

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