Doléances françaises au Congo
« Nous perdons de l’argent depuis notre implantation dans le nord du Congo, il y a quatre ans », se lamente le patron d’une société forestière française, qui dénonce notamment le montant trop élevé des taxes (15 % du chiffre d’affaires) et les contraintes administratives. Exemple : « Nous devons annoncer au préalable le volume des coupes qui seront pratiquées. En cas de dépassement, les pénalités atteignent des sommes vertigineuses. » Selon ce dirigeant de société, certains responsables politiques africains n’ont pas encore pris conscience des incidences financières des plans d’aménagement mis en oeuvre pour préserver les forêts d’Afrique centrale.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?