Bonne nouvelle pour la presse

Publié le 28 février 2005 Lecture : 1 minute.

Le centre maghrébin de la FIJ (Fédération internationale des journalistes) a rouvert son bureau à Alger, après une interruption de plusieurs années. La cérémonie inaugurale s’est déroulée le 17 février à l’hôtel Sheraton en présence de Bertrand Ginet, responsable des programmes de la FIJ, de Rabah Abdellah, secrétaire général du Syndicat national des journalistes (SNJ), des éditeurs de journaux, de Sidi Saïd, secrétaire général de l’UGTA, du chef de cabinet du ministère de la Communication, des ambassadeurs des États-Unis, des Pays-Bas, de la Suède, de la France, de l’Union européenne, de juristes et avocats ainsi que des journalistes et des amis de la presse.

Dans son allocution, Bertrand Ginet déclare que « l’ouverture du centre de la FIJ est un témoignage de bonne volonté, un message de soutien et de solidarité à tous les journalistes algériens. C’est aussi pour nous l’occasion de lancer immédiatement une série d’activités concrètes ». Nadir Benseba, coordinateur chargé des programmes au centre maghrébin de la FIJ, affirme que « le souci de la FIJ et du SNJ est plutôt de sensibiliser chacun de nous sur les défis et les réalisations que doit assurer la presse algérienne dans un monde global ». Il saisit l’occasion pour lancer un appel solennel au premier magistrat du pays afin d’user de ses prérogatives constitutionnelles pour libérer le directeur du quotidien Le Matin, Mohamed Benchicou, incarcéré depuis le 14 juin 2004. Le centre de la FIJ, ouvert en 1996 à la maison de la presse Tahar Djaout (Alger), va tenter d’apporter un soutien international en termes d’expertise et d’appui logistique aux journaux et aux journalistes algériens.

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