Droit de réponse

Publié le 28 janvier 2008 Lecture : 1 minute.

Suite à l’article intitulé « Corruption. À Douala, la chasse continue » (J.A. n° 2449, page 24), nous avons reçu un droit de réponse de maître Martine Mbongo Bwane, avocate du colonel Édouard Etonde Ekoto, dont nous publions ici les principaux éléments.
« Le jugement dont votre article est censé donner le compte-rendu n’étant pas définitif comme frappé d’appel à ce jour, l’affirmation péremptoire le flamboyant Edouard Etonde Ekoto devrait passer en prison les quinze prochaines années pourrait paraître insidieuse en l’état. [] Votre article met en avant le préjudice allégué pour l’État à
40 milliards de F CFA [] et omet [] de dire que, dans le verdict, à peine 12 milliards [] sont retenus. [] Tous les procès en cours ne portent aucunement sur la lutte contre la corruption qui procède de l’article 134 du code pénal camerounais. Celle-ci n’est encore visée à ce jour par aucun procès []

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