Quand le GSPC exalte les talibans
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
La destitution de Hassan Hattab de la direction du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), intervenue il y a quelques semaines, et son remplacement par Nabil Sahraoui ne bouleversent pas la ligne de conduite de cette organisation. Dans son premier communiqué, diffusé sur certains sites Internet d’obédience islamiste, Nabil Sahraoui, alias Abou Ibrahim Mustapha, confirme l’affiliation du GSPC à la nébuleuse el-Qaïda. Seule innovation : les talibans sont désormais cités en exemple dans la lutte contre le Taghout, le tyran, incarné aujourd’hui par les États-Unis, Israël et les gouvernements arabes.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise